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Nouvelles de l'industrie
2019/10

Yves Guillemot déclare qu'Ubisoft n'a pas d'éléments Pay-To-Win dans ses jeux

Il n'y a pas si longtemps, Yves Guillemot, PDG d'Ubisoft, s'est chargé des relations avec les investisseurs de l'entreprise pour discuter avec les investisseurs et les tenir au courant de tout ce qui concerne Ubisoft. Eh bien, lors de cet appel, Guillemot affirme que la société française n'a aucun élément payant dans ses jeux.

Site Web gamesindustry.biz a rédigé un article sur l'appel IR d'Ubisoft et a mis en évidence des éléments intéressants. Tout d’abord, on a demandé à Guillemot s’il craignait que les joueurs commencent à « se rebeller contre une monétisation plus agressive » dans les jeux.

Guillemot estime que les gains d'Ubisoft en termes de revenus des services en direct au cours des dernières années ne sont pas liés à « une augmentation agressive des microtransactions », mais plutôt à « une amélioration des revenus des jeux existants » et à « une augmentation de l'engagement des joueurs ».

Guillemot poursuit en expliquant la philosophie d'Ubisoft en matière de monétisation et comment ils gagnent de l'argent grâce aux mécanismes de service en direct :

« Lorsque nous sommes en mesure de créer des événements qui amènent les gens à rester plus longtemps dans nos jeux, ils dépensent de l'argent dans nos jeux de temps en temps. Ce que nous considérons, c'est qu'en apportant une expérience de haute qualité, nous pouvons augmenter les revenus par jeu, sachant que cela est dû au fait que nous créons régulièrement plus de contenu.

 

Dans le cas de Ghost Recon, notre philosophie est que le joueur puisse jouer au jeu complet, à 100 %, sans avoir à dépenser d'argent. Nous n'avons aucun élément de paiement pour gagner dans nos jeux, et ce que nous pouvons dire, c'est que [c'est] la philosophie que nous avons pour tous nos jeux, mais elle doit être liée à plus d'événements, plus de contenu pour que les joueurs puissent jouer. plus long."

Je parie que vous vous demandez : « Ghost Recon : Wildlands n'a-t-il pas eu de microtransactions après le lancement ? » Oui, le jeu l'a fait, et voici ce que Guillemot avait à dire à ce sujet :

«Ces objets ont été conçus comme un moyen facultatif pour les joueurs arrivant plus tard dans le jeu (après le lancement) de rattraper ceux qui jouent depuis plus longtemps et de profiter de notre coopération et de nos expériences de fin de jeu stimulantes. Ces gains de temps ont depuis été supprimés de notre magasin pour le moment.

Website Games Industry mentionne que le jeu (Ghost Recon: Wildlands) vend toujours des plans d'armes, des pièces jointes et des véhicules avec de l'argent réel qui s'applique aux parties PvE et PvP du jeu.

En outre, l'industrie des jeux se concentre sur un autre appel à savoir si la réaction critique contre Ghost Recon: Point d'arrêt (mis à part les problèmes) était lié à l'existence des microtransactions au lancement. Guillemot donne son avis :

« Sur les jeux live comme Ghost Recon Wildlands, nous avions déjà un magasin et les gens achetaient des articles dans le magasin. Ce que nous avons fait, c'est donner plus d'options au début de Breakpoint. Nous comprenons qu'il ait été perçu comme un magasin trop grand et qu'il n'ait vraiment pas été apprécié du tout, mais cela venait du fait que les joueurs passaient du temps dans le magasin et achetaient des choses à Wildlands, et nos équipes ont pensé pouvoir leur donner le possibilité d'avoir plus de choix. Ce qui n’a pas été bien interprété, mais c’était le but.

En résumé, Guillemot estime qu'Ubisoft n'essayait pas de grignoter les clients à travers ses jeux, mais d'offrir aux joueurs plus de « choix » via le service en direct « non payant pour gagner » de la société. En d’autres termes, tout était question de shekels.

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